Les pesticides dans nos assiettes
Les pesticides dans nos assiettes
« Bon appétit ! »
C’est ce que l’on dit généralement quand on passe à table. Malheureusement, cette habitude cache des malheurs en perspectives qui sont encore trop négligés par les autorités sanitaires.
Heureusement que certaines organisations comme Génération future https://www.generations-futures.fr/actualites/residus-de-pesticides-2019/ continue à sonner l’alerte dans un rapport sérieux quand les bornes sont déposées.
Vous savez que nos autorités estiment fruit par fruit et légume par légume le taux de résidus de pesticides à ne pas dépasser pour une mise sur le marché. Il est évident pour tous que quand vous mangez un kiwi dont les traces de résidus en pesticides frôlent le taux maximal, il compense en mangeant des bananes bios pour ne pas causer de cumul aggravant ! Ah non ! Vous ne fonctionnez pas comme ça, vous non plus ? Apparemment, vous n’êtes donc pas éligible pour faire partie du parlement européen ou du ministère de la santé compte tenu de votre manière de fonctionner !
J’avoue que mon ironie est brutale. Mais comment expliquer que nos gouvernants raisonnent comme si, en face d’eux, nous n’étions pas des humains, vivants, fonctionnant ou dysfonctionnant consécutivement à ce que nous mettons dans nos assiettes ? Ils nous font croire qu’il est difficile de trouver des solutions alors que bien des choses sont plus simples qu’il n’y parait (s’il eu été possible de mettre de côté l’appât du gain des industriels de l’agroalimentaire).
Passer à la bio
Le passage à la bio pour toute production pourrait se faire rapidement. En moins de 5 ans, l’agriculture raisonnée deviendrait bio à 100% et en interdisant l’agriculture dite traditionnelle, on pourrait soulager la terre en un rien de temps. Mais surtout, et c’est là le propos, on pourrait retrouver des aliments exempts de risques, qu’ils soient accumulés ou non dans nos assiettes. Pourquoi ne pas le faire rapidement ?
Il ne reste qu’à nous de le formuler de toutes nos forces en doléances, en prières, en bulletins de vote, en pétitions et manifestations diverses cette volonté d’aller au plus vite vers un marché exempt de chimie provocatrice de maladies qui nous coûte sur tous les plans.
A vos marques ! Prêts ! Feu…..