Le professeur Khayat mets en évidence des chiffres très parlants, visant plus particulièrement la population adolescente. Cela dit, la question reste à se poser pour tout profil touché par l’obésité qui, en effet s’expose également, bien que ce soit dans une moindre mesure.

Il n’est rien d’étonnant de lire, une fois encore, que notre style de vie (notamment alimentaire) est en relation avec les cancers et, tout particulièrement avec le cancer du côlon. Rappelons que 40% des cancers pourraient être évités ! C’est tout de même dommage de se rendre malade avec ce qui est sensé nous donner de quoi vivre. Sans doute serait-ce là une question qui dépasse le cercle de nos assiettes.

Pourquoi notre société est devenue « capable » de produite autant de maladies en lien quasi-direct à notre style de vie ? Serait-ce une ignorance générale des effets de ce que nous mangeons ? Sans doute pas. Serait-ce alors une manière de compenser quelque chose ? Un manque ? Une impression de vide à combler ? Peut-être. Mais alors que la connaissance individuelle et collective augmente, nous perdrions la conscience du sens ? L’importance du sens.

Pour savoir comment répondre, interrogeons nos assiettes. Elles parleront sans encombre.

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